Breizh shore
Bonnet côtelé biologique Douarnenez
Douarnenez est une ville du Finistère, située dans une belle baie qui regorge de sardines. Depuis l’Antiquité, les habitants de Douarnenez pêchent la sardine et la vendent fraîche, salée ou fumée. Mais au XIXe siècle, une invention va révolutionner le commerce de la sardine : la boîte de conserve. Grâce à ce procédé, la sardine peut se conserver plus longtemps et se transporter plus loin. Douarnenez devient alors la capitale de la conserve de sardine, et attire de nombreux entrepreneurs et ouvriers.
La ville se transforme et se développe autour de ses trois ports : le Rosmeur, le Port-Rhu et Tréboul. Des dizaines de conserveries s’installent sur les quais, et emploient des milliers de personnes, surtout des femmes. Ces ouvrières sont appelées les Penn Sardin, qui signifie “têtes de sardine” en breton. Elles travaillent dur, dans des conditions difficiles, pour trier, équeuter, laver, cuire et emboîter les sardines. Elles sont payées à la pièce, et leur salaire dépend de la quantité et de la qualité des sardines.
Les Penn Sardin sont fières de leur métier, mais aussi conscientes de leurs droits. Elles n’hésitent pas à se mobiliser et à se battre pour améliorer leurs conditions de travail et de vie. Elles organisent des grèves, des manifestations, des pétitions, et font face à la répression des patrons et des autorités. Elles revendiquent des augmentations de salaire, des réductions du temps de travail, des congés payés, des allocations familiales, des retraites, des indemnités de chômage, etc. Elles sont soutenues par les syndicats, les partis politiques, les associations, et parfois par les pêcheurs et les marins.
Les Penn Sardin sont un symbole des luttes sociales et des mouvements ouvriers en Bretagne et en France. Elles ont contribué à l’histoire de Douarnenez et à son identité. Elles ont aussi participé à la richesse culturelle et gastronomique de la ville, en perpétuant la tradition de la sardine et de la conserve. Aujourd’hui, il reste trois conserveries à Douarnenez, qui continuent de produire des sardines et d’autres poissons. La ville rend hommage aux Penn Sardin, en organisant des expositions, des spectacles, des festivals, et en conservant leur mémoire au port-musée.
• 50 % polyester recyclé et 50 % acrylique
• Double couche de tricot
• Bonnet à revers
• 21 cm (8,27 ") de longueur
La ville se transforme et se développe autour de ses trois ports : le Rosmeur, le Port-Rhu et Tréboul. Des dizaines de conserveries s’installent sur les quais, et emploient des milliers de personnes, surtout des femmes. Ces ouvrières sont appelées les Penn Sardin, qui signifie “têtes de sardine” en breton. Elles travaillent dur, dans des conditions difficiles, pour trier, équeuter, laver, cuire et emboîter les sardines. Elles sont payées à la pièce, et leur salaire dépend de la quantité et de la qualité des sardines.
Les Penn Sardin sont fières de leur métier, mais aussi conscientes de leurs droits. Elles n’hésitent pas à se mobiliser et à se battre pour améliorer leurs conditions de travail et de vie. Elles organisent des grèves, des manifestations, des pétitions, et font face à la répression des patrons et des autorités. Elles revendiquent des augmentations de salaire, des réductions du temps de travail, des congés payés, des allocations familiales, des retraites, des indemnités de chômage, etc. Elles sont soutenues par les syndicats, les partis politiques, les associations, et parfois par les pêcheurs et les marins.
Les Penn Sardin sont un symbole des luttes sociales et des mouvements ouvriers en Bretagne et en France. Elles ont contribué à l’histoire de Douarnenez et à son identité. Elles ont aussi participé à la richesse culturelle et gastronomique de la ville, en perpétuant la tradition de la sardine et de la conserve. Aujourd’hui, il reste trois conserveries à Douarnenez, qui continuent de produire des sardines et d’autres poissons. La ville rend hommage aux Penn Sardin, en organisant des expositions, des spectacles, des festivals, et en conservant leur mémoire au port-musée.
• 50 % polyester recyclé et 50 % acrylique
• Double couche de tricot
• Bonnet à revers
• 21 cm (8,27 ") de longueur